Les Émirats arabes unis ont condamné les opérations militaires terrestres israéliennes dans la bande de Gaza et ont appelé à un cessez-le-feu immédiat pour protéger les vies civiles.

Le ministère des Affaires étrangères a exprimé l'inquiétude des Émirats arabes unis alors que l'infanterie israélienne est entrée dans Gaza samedi dans le cadre d'une escalade de l'action militaire qui menace d'exacerber la crise humanitaire dans le territoire palestinien.

Des images montraient des rangées de chars et de véhicules blindés se déplaçant dans des zones ouvertes de Gaza tandis que les avions de combat israéliens effectuaient de lourds bombardements qui, selon l'armée, visaient les tunnels et les bunkers souterrains du Hamas.

Le communiqué du ministère a réaffirmé la nécessité d'un cessez-le-feu immédiat pour garantir que les civils et les institutions civiles ne soient pas pris pour cible.

Il a souligné l'importance de protéger les civils conformément au droit international humanitaire et aux traités internationaux de protection des civils et des droits de l'homme, ainsi que la nécessité de garantir qu'ils ne soient pas pris pour cible pendant un conflit.

L'Assemblée générale des Nations Unies a adopté vendredi une résolution appelant à une trêve humanitaire à Gaza et à la cessation des hostilités.

La résolution a été largement soutenue par les Émirats arabes unis, le ministère des Affaires étrangères déclarant qu'il s'agissait d'une étape importante vers la désescalade afin de rétablir le calme et de protéger les vies civiles.

Il a également appelé à l'ouverture immédiate de couloirs humanitaires sûrs pour permettre à l'aide humanitaire de circuler librement vers Gaza.

Par ailleurs, les Émirats arabes unis ont demandé une session d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU dès que possible pour discuter de la situation à Gaza.

Les Émirats ont demandé au Brésil, qui assure la présidence tournante du Conseil, de tenir la réunion dans un format ouvert qui comprendrait les contributions du chef humanitaire de l'ONU, Martin Griffiths, et du commissaire général de l'UNRWA, Philippe Lazzarini.

Les agences de l'ONU ont exprimé à plusieurs reprises leur inquiétude quant à la situation humanitaire à Gaza au cours des trois semaines qui ont suivi le blocus total imposé par Israël sur le territoire et le début d'une campagne de bombardements qui a coûté la vie à environ 8 000 personnes.

L'armée israélienne a annoncé samedi qu'elle autoriserait davantage de camions transportant de la nourriture, de l'eau et des médicaments à entrer dans le sud de Gaza pour soutenir les civils dans le sud du territoire palestinien.

Il a également appelé à l'ouverture immédiate de couloirs humanitaires sûrs pour permettre à l'aide humanitaire de circuler librement vers Gaza.

Par ailleurs, les Émirats arabes unis ont demandé une session d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU dès que possible pour discuter de la situation à Gaza.

Les Émirats ont demandé au Brésil, qui assure la présidence tournante du Conseil, de tenir la réunion dans un format ouvert qui comprendrait les contributions du chef humanitaire de l'ONU, Martin Griffiths, et du commissaire général de l'UNRWA, Philippe Lazzarini.

Les agences de l'ONU ont exprimé à plusieurs reprises leur inquiétude quant à la situation humanitaire à Gaza au cours des trois semaines qui ont suivi le blocus total imposé par Israël sur le territoire et le début d'une campagne de bombardements qui a coûté la vie à environ 8 000 personnes.

L'armée israélienne a annoncé samedi qu'elle autoriserait davantage de camions transportant de la nourriture, de l'eau et des médicaments à entrer dans le sud de Gaza pour soutenir les civils dans le sud du territoire palestinien.